L’actuel plan de redressement judiciaire de la Fédération Régionale des Maisons des Jeunes et de la Culture (FRMJC) a des répercussions majeures pour le Centre Loisirs et Culture (CLC). La convention qui lie la FRMJC, la mairie et le CLC devrait être dénoncée d’ici la fin du mois, mettant en péril le fonctionnement de cette structure essentielle pour les Mesnilois.
Parmi les conséquences les plus préoccupantes figure l’avenir des postes de directeur et directrice adjointe du CLC, actuellement financés par la mairie via la FRMJC. Ces postes sont primordiaux pour le bon fonctionnement du CLC et ainsi pour le service rendu aux Mesnilois. Le Maire et sa majorité souhaitent ils conserver ces deux postes ? A priori, non !
Ce choix soulève de vives interrogations. Pourquoi refuser une solution qui préserverait les emplois, assurerait la pérennité du CLC et respecterait l’engagement de la mairie envers les habitants ? Ce refus impacte non seulement les salariés concernés, mais aussi l’ensemble des Mesnilois, qui bénéficient des services du CLC.
Plus incompréhensible encore, le Maire et sa majorité ont choisi de ne pas réunir la commission « Vie associative » pour discuter de ce sujet, privant ainsi les élus, et par conséquence les mesnilois, d’un débat constructif sur une décision aux conséquences lourdes.